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 Les fillettes aux visages de cire

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Crow
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MessageSujet: Les fillettes aux visages de cire   Les fillettes aux visages de cire EmptySam 29 Jan - 23:24

Il faisait lourd, Michel n’en pouvait plus, il n’y avait pas de climatisation dans sa voiture plus proche de l’épave que du véhicule, pourtant il avait plusieurs fois demandé à en changer, mais son chef comme de coutume le lui avait refusé par manque de moyens. Il roulait au beau milieu des champs et à vrai dire il en avait marre, « joyeux anniversaire à vous Raymond » voilà ce que scandait depuis une bonne demi-heure la radio branchée sur RMC, cela aussi Michel n’aimais pas, mais Richard son partenaire et seul ami, assis à côté de lui, n’écoutais que cette radio bien qu’il savait pertinemment que les animateurs, avec cet accent commun à tous ces anciens rugbymen et leur attitude frôlant celle du beauf moyen, avait le don d’excéder Michel.
« Nous voilà arrivés, voyons donc ce pourquoi on nous a appelé » dit-il à Richard, Michel se posa contre la portière de sa vieille voiture tout en sortant son paquet de cigarette, en offrit une à son ami et en mis une seconde dans sa bouche avant de demander à ce dernier de lui prêter son briquet ; c’était un petit Zippo de couleur argenté couvert de gravures représentant une femme nue sortant d’un œuf, c’était un objet qu’il aimait tout particulièrement, il l’avait d’ailleurs en permanence sur lui quoi qu’il fasse un peu comme font certaines vieilles femmes fétichistes avec leurs gri-gris.
Ils étaient à la lisière d’une grande forêt sombre et qui semblait profonde, à vrai dire aucun d’eux n’y avait jamais mis les pieds et vu l’atmosphère qui se dégageait de cet endroit on comprenait aisément pourquoi pratiquement personne n’y été jamais entré, une légère brise soufflait, la fumée blanche des cigarettes montait doucement dans un mouvement circulaire. Une fois celles-ci terminées Michel et Richard s’enfoncèrent dans la forêt, il y faisait tellement sombre et un silence atroce régnait comme si toute vie était ici éteinte, ils marchèrent durant vingt minutes avant d’arriver à l’endroit qu’on leur avait décrit.
Le terrain était plat, couvert de grands arbres dont les branches densément fournies ne laissaient passer que quelques rares rayons de soleil, l’atmosphère, elle, était des plus glaciale, le sol recouvert de racines et au milieu de tout cela se trouvait un trou dont se dégageait l’odeur particulièrement nauséabonde de la mort et dans lequel se battaient plusieurs corbeaux, certains d’entre eux en ressortaient des bouts de chair sanglante dans le bec, Michel s’approcha, fit fuir les corbeaux avant de se pencher afin d’observer de quoi il en retournait, à l’intérieur se trouvaient trois corps éventrés, semblant avoir subits diverses tortures, c’étaient 3 petites filles âgées de 6 à 9 ans à vue d’œil, leur visages angélique tachés par le sang, toutes trois étaient blondes, le teint pâle et semblaient figées dans une attente interminable, sans expression, comme vidées de tous sentiments. A la première manquait une partie de la joue droite, à la seconde l’index gauche et à la dernière ses yeux, laissant maintenant place à deux trous béants.
-Oh mon dieu Richard je crois qu’on a un sérieux problème, viens voir, ça ne te rappelle rien ça ?
-oh merde tu veux dire que tu penses que c’est lui ? Demanda gravement Richard
-et bien je n’en suis pas certain, mais des jeunes filles blondes aux yeux clairs, éventrées comme le sont ces trois-là et dont il manque une partie du corps, je doute que ce ne soit simplement qu’une coïncidence
-bien Michel, contactons le central et voyons ce que l’équipe scientifique pourra nous apprendre là-dessus.




Cet après-midi-là était particulièrement doux pour un mois d’avril, Michel rêvassait sur un banc, laissant ses pensées aller à droite à gauche. Soudain il entendit un bruit qui le fit sortir de cet état, c’était Caroline, sa femme, qui l’appelait.
Elle avait 28 ans, ils s’étaient rencontrés au lycée et à cette époque déjà Michel se demandait ce qu’elle pouvait bien lui trouver ; En effet Caroline était vraiment une belle femme de type méditerranéenne avec le teint assez bronzé, des traits fins et des cheveux qui lui arrivaient au niveau des hanches, ainsi que de magnifiques formes qui avaient immédiatement séduit Michel et qui avait rendu bien des hommes jaloux depuis qu’ils étaient ensemble ; Physiquement, Michel était, lui, relativement banal comparé à Caroline, il mesurait environ 1 mètre 80, avait une allure élancée, les cheveux courts et noirs comme les jais, mais au niveau de son visage il n’avait rien de particulièrement attirant mais rien non plus de repoussant, en sommes c’était un homme comme il en existait des milliers de par le monde.
Caroline souhaitait lui montrer leur fille, Lisa, qui du haut de ses six ans, faisait pour la première fois de sa vie du vélo seule. Elle semblait heureuse d’y arriver enfin. Lisa était, elle, contrairement à son père, une jolie petite fille, avec un visage pareil à celui d’une poupée de porcelaine, blonde comme les blés, toujours bien habillée par sa mère qui choisissait consciencieusement chaque matin les vêtements que porterait sa fille pour la journée. Caroline avait eu Lisa relativement tôt et avait donc dû mettre ses études de côté, mais les avait reprises un an plus tard et avait eu son master en droit suite à quoi elle était devenue avocate, une bonne avocate, son salaire était bien supérieur à celui de Michel qui était le même que tout autre agent de la police criminelle.
19 heures venaient de sonner. Michel alluma une cigarette, pris Caroline par la main et ils commencèrent à prendre le chemin du retour tandis que Lisa les suivaient sur son petit vélo. Un quart d’heure de marche plus tard ils étaient de nouveaux chez eux, 10 rues des lys. Ils habitaient un assez grand pavillon, en majeure partie payé grâce au salaire de Caroline. Ils entrèrent, l’intérieur de la maison était décorée avec beaucoup de goût, on sentait la touche féminine qui y était présente ; Michel prépara le diner, une fois celui-ci consommé, Caroline mis leur fille au lit et rejoignit son mari qui regardait la télé. Michel avait cette habitude qui excédée Caroline, qui était de changer de chaîne de télévision approximativement toutes les 45 secondes. Elle alla à la salle de bain, se mis nue et enfila le porte jarretelle que Michel lui avait offert durant l’été dernier, quand elle sortit de la salle de bain, Michel la vit, aussitôt une grande excitation monta en lui, Caroline se mis sur lui et commença à l’embrasser avant de le déshabiller. Une fois nu, il la pénétra vigoureusement comme à son habitude, en général leurs relations sexuelles se passaient bien et étaient régulières ; Au moment où il sentit qu’il allait éjaculer, Michel se retint et Caroline le prit en bouche, à l’intérieur de laquelle son orgasme eu lieu. Michel, baignant encore dans le plaisir apporté par l’orgasme qu’il venait d’avoir pris sa femme dans ses bras, et sans plus penser à rien, s’endormit.
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